Chers amis Facebookers Il est maintenant temps de sortir l'artillerie lourde pour se prendre en main et exposer aux yeux de tous, toute l'audace et la vanité nécessaire afin d'essayer d'en obtenir les fruits. Je suis à la recherche d’un emploi. A vingt-trois ans, ça arrive ! Ne prenez pas peur, ne vous retirez pas de mes listes d'amis : ce n'est pas contagieux (quoiqu'en cas de récession, allez savoir... mais chuuuttt, ce n'est pas une récession, on vous a dit). Mieux vaut vous prévenir d’emblée pour que vous rapprochiez la corbeille à papiers si vous souhaitez dès maintenant jeter cette longue missive ! Je sais que ma candidature peut vous paraître étrange, surprenante, voire tout à fait incongrue, surtout aux vues de mon parcours effectué jusqu’ici. J’ai l’audace prétentieuse de mes vingt ans mais la raison de la maturité. Ah le petit bonhomme, vous entends-je déjà soupirer ! Et bien le petit jeune aimerait bien travailler, vous apporter son soutien et vous montrer ce qu’il a dans le ventre (à part un reste de tarte, très bonne d’ailleurs !). Je connais l’organisation, la rigueur et l’investissement que demande tout projet communicationnel ou culturel (ou autre encore). Je veux y arriver. Et le seul moyen qu’il puisse exister pour cela, il en est persuadé : persévérer, espérer, rêver et surtout travailler d’arrache pied pour innover. On n’a rien sans rien, en attendant les bras croisés ! « Ils se contentent de tuer le temps en attendant que le temps les tue » disait Simone de Beauvoir. Moi, égoïste que je suis, je suis un impatient de la vie, je n’attendrai pas de mourir. Je connais l’Art, l’Art des mots (c'est mon boulot!!!), l’Art de l’Histoire et des styles, l’Art de la connaissance et de l’instinct. J’ai en ma possession le poids des mots, la force de la persuasion par le récit et l’ineffable pouvoir créatif que confère mon imagination. J’aime être poussé par la créativité, sentir en moi brûler les cendres vives de la création. J’aimerais beaucoup vous apporter ce que je pourrais de mieux, vous aider d’une quelconque façon. Je ne peux certes pas prétendre avoir de connaissances assez conséquentes en publicité, techniques créatives ou tout ce dont vous recherchez. Je ne prétends pas rivaliser avec les multiples quémandeurs qui doivent très probablement vous solliciter après avoir fait des écoles sur-mesure. Moi, je n’ai rien d’eux. Je ne suis pas du prêt-à-porter. J’ai l’imagination vive, la plume facile et la psychologie fine, l’éloquence et la parole féconde, des idées diligentes mais point inintelligentes, de la créativité et de l’imagination (rédactionnelle, artistique, …), le courage et l’audace de mon jeune âge (les hommes sont toujours vantards, penserez-vous ; de nos jours, c’est la seule chose qu’il nous reste). L’envie d’apprendre, le désir de donner et de transmettre mes compétences et de les mettre à votre service. Ce n’est pas une déclaration d’amour mais plus une déclaration d’allégeance. Les grandes choses se construisent avec force de travail, de talent et de détermination. Trois valeurs que j’essaie de faire miennes au mieux. Et j’aimerais mettre mes qualités de communicant, d’organisateur d’évènements, d’assistant ou autre encore à votre service afin de sublimer d’autant mieux vos stratégies et la culture que vous promouvez et défendez. Je ne sais pas tout, je ne connais pas tout, loin de là. J’ai probablement encore beaucoup à apprendre. Et je suis prêt à (beaucoup) apprendre. Car on a toujours beaucoup à apprendre des expériences, des Hommes, de la vie, … Le message est plutôt abscons. Vous répondrez sûrement à cette lettre (si vous le faites ou qu’une secrétaire ne l’ait pas interceptée ou décachetée) par une interrogation fort à propos « mais que voulez-vous, jeune homme ? ». La réponse, j’aimerais pouvoir vous l’apporter. Dans l’attente d’une réponse qui ne viendra peut-être jamais, chers amis Facebookers, je vous souhaite une très bonne journée. C.N. PS : mon CV se trouve dans mon profil, mes intérêts également, ... A vous de voir