Notre recherche d’apporteurs d’affaires et nos différentes actions en ce sens se voient simplifiées dans la contractualisation aujourd’hui possible à travers ce nouveau statut d’auto-entrepreneur qui permet à toute personne de bénéficier d’une seconde activité (ou d’une activité principale) ne nécessitant que très peu de gestion administrative.
Ce statut pourra aussi convenir aux traducteurs indépendants.
Ce statut a été annoncé fin 2008 par Hervé Novelli et se met doucement en place.
Nos « pointeurs » nous montrent que les institutions ont un peu de mal avec la mise en application opérationnelle des textes et certaines catégories sont encore exclues (professions libérales relevant du RSI).
Les besoins de traduction étant très diffus, nous tentons de construire un réseau d’apporteurs d’affaires nous permettant de « toucher » des cibles que nous aurions du mal à identifier.
Pour cadrer notre offre, nous souhaitons qu’une relation s’établisse entre nous et nos apporteurs d’affaires sur une base pérenne donc…officielle.
Le développement du statut d’auto-entrepreneur est une opportunité pour notre activité de traduction et permet d’abriter très simplement la relation contractuelle avec nos partenaires.
Les difficultés amont de mise en place opérationnelle et de coordinations par les différents intervenants (Urssaf, Sécurité Sociale, Retraites) passées, nous pourrons faire un bilan dans quelques mois en fonctionnement stabilisé.