Hier, je faisais passer le concours d'entrée à mon ancienne école de commerce EBS. Ce qui m'a le plus frappée, c'est que les jeunes filles rêvaient de faire carrière dans le marketing de marque et travailler dans le luxe et les garçons restaient branchés sur la finance.
comme si la crise n'arrivait pas à changer les coutumes. Les filles rêvaient chiffons et grandes marques et les garçons rêvaient chiffres, bourse et belles voitures.
Pourtant n'arrivons nous pas à un tournant ? les verts n'ont ils pas eu un beau succès aux élections ?
Et si subitement dans l’esprit des consommateurs, moins commençait à être synonyme de mieux ? Ne devient il pas urgent de commencer à prendre des décisions de vivre autrement ? les écoles de commerce devraient réagir face aux vieux paradygmes. Apprendre à nos jeunes à avoir des idées moins bling -bling pour qu'ils soient visionnaires et non plus répétiteurs des vieilles idées de leurs parents.
Si nous coachs, nous arrivions à faire admettre à nos clients qu'il est temps de ne plus être dans le temps des regrets mais plutôt dans le temps des visions plus calmes et plus simples, ce serait formidable.