Etre trop sexy ou ne plus l'être s'avère toujours être un handicap dans sa quête de travail. Voici 2 histoires qui vous explique le pourquoi du comment.

Elle s'appelle Cassandra Smith et est serveuse depuis 2 ans chez Hooters, une chaîne de restauration Américaine. Lors de son dernier entretien d'évaluation, elle a eu droit à quelques remarques de la part de son manager. Il y'en a surtout une qui a eu du mal à passer.

Mis à part ses retards ou son manque de rapidité lors des prise de commande, ce sont surtout ses kilos en trop qui ont été critiqués ! Mais avec 60 kg pour 1m72, il faut vraiment être fort pour les détecter...

Le hic c'est que son employeur est une chaîne de restauration un peu spéciale. Le concept d'Hooters est de proposer à sa clientèle des serveuses moulées dans des mini-shorts et débardeurs décolletés. Côté uniformes, 3 tailles seulement : S, XS et XXS. Avec ses quelques kilos en plus, la taille XS ne taillait plus à merveille à Mlle Smith.

A la suite de cet entretien, la jeune serveuse n'a pas été licenciée immédiatement. Son manager, vraiment généreux, lui a donné 30 jours pour résoudre le problème, lui conseillant de s'inscrire dans un cours de fitness. Révoltée, Mlle Smith a décidé d'attaquer Hooters et les médias se sont emparés de cette affaire qui depuis fait grand bruit. A suivre...

L'autre histoire concerne Debrhalee Lorenzana qui travaille chez Citibank et qui vient de se voir licenciée par son employeur. Non pas parce que la crise est passée par là mais parce qu'elle est trop sexy au goût de ses employeurs.

Tout a commencé quand les responsables de la banque considèrent que sa beauté trouble ses collègues masculins, ce qui s'en ressentirait dans leur travail. Du coup, la jeune maman célibataire de 33 ans a reçu une liste des vêtements qu'elle n'était plus autorisée à porter en raison de ses formes.

Bye bye les robes moulants ou les pulls à cols roulés (trop moulants également) qui nuisaient à la concentration de ses collègues masculins. Ayant refusé de cacher ses formes, elle fût donc virée sur le champ.

La discrimination ne cessera donc jamais...