Quand on y est confronté on espère toujours que le recruteur ne s'en apreçoive pas ou qu'on parvienne à le maquiller suffisamment pour le faire disparaitre. Mais les recruteurs estiment qu'il faut pourtant assumer son parcours même s'il comporte quelques défauts.
Par ailleurs, ce n'est pas parce qu'on est au chômage que l'on est resté inactif. Bénévolat associatif, réalisations en free-lance, tout est bon pour valoriser un trou béant. Et celà peut vous permettre de vous valoriser sur certains points.
Une autre astuce permet également de faire disparaitre les quelques périodes d'inactivité professionnelles entre 2 expériences. Après 5 ans d'expérience, on évite de mentionner les mois. Au lieu de marquer novembre à juin 2010, on marquera 2009/2010. Pour les expériences, plus courtes, on peut décaler au mois précédent et suivant pour glaner quelques précieuses semaine de travail.
Par contre, même si celà peut être tentant, n'inventez pas une expérience pour masquer une inactivité. C'est périlleux et en cas de vérification du recruteur, celà peut vous mettre rapidement hors jeu. Et puis en entretien, une gaffe est toujours possible.
Et pour ceux qui ont fait volontairement une pause, n'ayant pas honte de l'avoir fait. Les recruteurs apprécient l'authentique. Sachez juste justifier votre parcours, aussi atypique soit-il. Et concernant le chômage, il ne faut pas prendre cette période comme une fatalité et votre discours à ce sujet doit être percutant.
Faire ressortir les points positifs de sa période d'inactivité est essentiel. Créer son entreprise, même si au final celà constitue un echec peut vous valoriser.