Avec le lancement d'un site comme Ratemyemployer.ca, l'identification des meilleurs employeurs québécois prend une tournure tout-à-fait nouvelle par rapport à ce que nous avons connu dans le passé. Effectivement, avant l'avènement d'une telle plateforme Web qui vient "démocratiser" l'évaluation des employeurs, le classement des ces derniers était une question réservée principalement au Top 50 Canadien de Hewitt & Associés et au Défi Meilleurs Employeurs de l'ordre des CRHA et CRIA du Québec.
Il faut comprendre que ces deux prestigieux se font sur la base d'une participation volontaire (et probablement coûteuse) de l'employeur alors que Ratemyemployer n'a absolument rien de volontaire. Un mauvais employeur ne participera pas à ces deux concours qui exigent la contribution des employés, préférant demeurer dans l'ombre et ne rien "brasser" au sein de l'entreprise. Sur Ratemyemployer, les mauvais employeurs sont pointés du doigt d'une façcon que je trouve très surprenante et presqu'inquiétante. J'en ai déjèa parlé ici, mais je me dois de le répéter : lisez ces commentaires et imaginez les conséquences pour les dirigeants d'Inpix. Ça vous intéresse comme expérience de travail?
Quant à lui, le Défi Meilleurs Employeurs au Québec existe depuis 2002 et vous pouvez voir les lauréats ici. Même si le classement est limité aux entreprises qui veulent bien se donner la peine de s'évaluer et de faire participer les employés, je trouve que ce concours est très intéressant. D'une part, son classement est rigoureux et ne saurait être mis en doute. D'autre part, le simple fait qu'une entreprise s'investisse dans un tel processus dénote une sérieuse volonté de mettre en place de bonnes pratiques en gestion des ressources humaines et de s'améliorer. C'est pourquoi je souhaiterais même que le site divulgue les entreprises qui participent. Pour les entreprises que çca intéresse, les inscription se font jusqu'àa la fin mars.
L'autre concours bien connu est le Top 50 des employeurs canadiens qui fonctionne un peu sous le même principe que le Défi des Meilleurs Employeurs québécois. Ce concours implique une participation des employés et une volonté de l'entreprise de s'améliorer en mettant en place de bonnes politiques de ressources humaines. Voici la liste des entreprises québécoises qui ont été primées :
Il faut comprendre que ces deux prestigieux se font sur la base d'une participation volontaire (et probablement coûteuse) de l'employeur alors que Ratemyemployer n'a absolument rien de volontaire. Un mauvais employeur ne participera pas à ces deux concours qui exigent la contribution des employés, préférant demeurer dans l'ombre et ne rien "brasser" au sein de l'entreprise. Sur Ratemyemployer, les mauvais employeurs sont pointés du doigt d'une façcon que je trouve très surprenante et presqu'inquiétante. J'en ai déjèa parlé ici, mais je me dois de le répéter : lisez ces commentaires et imaginez les conséquences pour les dirigeants d'Inpix. Ça vous intéresse comme expérience de travail?
Quant à lui, le Défi Meilleurs Employeurs au Québec existe depuis 2002 et vous pouvez voir les lauréats ici. Même si le classement est limité aux entreprises qui veulent bien se donner la peine de s'évaluer et de faire participer les employés, je trouve que ce concours est très intéressant. D'une part, son classement est rigoureux et ne saurait être mis en doute. D'autre part, le simple fait qu'une entreprise s'investisse dans un tel processus dénote une sérieuse volonté de mettre en place de bonnes pratiques en gestion des ressources humaines et de s'améliorer. C'est pourquoi je souhaiterais même que le site divulgue les entreprises qui participent. Pour les entreprises que çca intéresse, les inscription se font jusqu'àa la fin mars.
L'autre concours bien connu est le Top 50 des employeurs canadiens qui fonctionne un peu sous le même principe que le Défi des Meilleurs Employeurs québécois. Ce concours implique une participation des employés et une volonté de l'entreprise de s'améliorer en mettant en place de bonnes politiques de ressources humaines. Voici la liste des entreprises québécoises qui ont été primées :
- Cima+, de Montréal (16) ;
- Ivanhoé Cambridge, de Montréal (18) ;
- Groupe Robert, de Boucherville (28)
- Ultramar, de Montréal (33);
- Abbott Canada, de St-Laurent (34) ;
- Novartis Pharma Canada, de Dorval (35) ;
- Bell Nordiq, de Montréal (38) ;
- L’Union canadienne, de Québec (39) ;
- Banque nationale du Canada, de Montréal (41) ;
- Marcil, de Saint-Sauveur (49)