Aujourd'hui, je ne me pose plus trop la question de relancer ou non un recruteur, vu que je ne postule plus... (voir mon billet Evolution professionnelle).
1/ La relance témoigne de notre motivation.
Il ne faut pas hésiter à prendre les devants, c'est révélateur de courage et de détermination.
2/ Par quel outil ?
Mail ou téléphone... (exit fax, courrier, cela va de soi). Evidemment, le téléphone est la solution la plus judicieuse, il permet au recruteur et au candidat de se "sentir" mutuellement. Mais le mail peut être une bonne alternative si vous n'êtes vraiment pas un bigophile. Il permet aussi de ne pas déranger, ou de confirmer un message laissé sur répondeur.
Petit rappel sur ce billet : [le téléphone, pas si simple comme un coup de fil...
|/index.php/post/2007/10/16/Le-telephone-pas-si-simple-comme-un-coup-de-fil|fr]
3/ Le barrage de la secrétaire :
Un coach m'a expliqué une manière d'aborder les choses, que j'ai testé, et qui s'est averée efficace :
Nota : Utiliser un ton sec et professionnel
Secrétaire : Allooo oui ???
Vous : Bonjour, Ludovic Dupont, j'aimerais parler avec <nom du recruteur>
S : Vous êtes de quelle société ?
V : Je suis indépendant ( ce qui en soit est vrai)
S : C'est à quel sujet ?
V : Un dossier que je lui ai fait parvenir par mail.
Après c'est au bon vouloir de chacun d'essayer de bluffer un peu la secrétaire (ou l'assistante). Chacun se fait sa propre opinion et sa propre stratégie. Celle-ci a été efficace pour moi
4/ Votre candidature est refusée :
Pas la peine de polémiquer, et faites preuve de diplomatie. Demandez au recruteur un feed back qui vous sera utile pour les prochaines fois. Est-ce l'expérience ? Le manque de référence ? Un profil trop éloigné du poste ?... Sollicitez aussi quelques conseils, ça ne coute rien.
Pour en savoir plus, je vous conseille ce livre :
M. Baudier
Ed. Maxima, 2007
264 pages, 18 euros
Un guide bien utile pour connaître les techniques et le savoir-être au téléphone... Disponible sur ce site en papier ou numérique : Numilog
Et ne désespérez pas, tout vient à point à qui sait attendre... Non ?