Et une nouvelle année pour le portage salarial !

Publié le 04 janvier 2012 par Lemondeapres @LeMondeApres

Bonne année 2012 !

En ce début d’année 2012, une chose fondamentale à retenir de l’année 2011 est une volonté des entreprises à acquérir de plus en plus de flexibilité. Sur une analyse rapide des comportements des entreprises de taille intermédiaire et des PME, le constat en temps de crise est le suivant:

- les clients ont du mal à acheter aussi facilement les prestations

- les paiements se font parfois beaucoup plus longs

- les entreprises n’arrivent pas à remplir leur carnet de commande

- les financements pour passer les moments difficiles sont de plus en plus difficiles à obtenir.

Jusque là, le phénomène de récession est assez classique. Une des solutions est désormais assez aisée à entrevoir. En effet, la flexibilité du marché du travail, apportée grâce au statut du portage salarial, permet de faire appel à des ressources non récurrentes de son business model (les ressources support, les ressources opérationnelles complémentaires, les ressources commerciales) comme des solutions ponctuelles et non les entrevoir comme des problèmes permanents pour lesquelles il va falloir, quoiqu’il arrive, à la fin du mois, sortir de la trésorerie, ressource plutôt rare en période de récession.

Le consultant en portage salarial a un métier à part entière, celui d’apporter des solutions à un client. Il  a une et une seule mission: ne jamais devenir un problème. A ce titre, sa flexibilité, son habitude à manipuler le multi-projet et sa capacité à intégrer l’expérience acquise, dans d’autres entreprises, le rend extrêmement efficace. Celui-ci a en effet une obligation de résultat, l’obligation de délivrer un service ce qui le rend culturellement offreur de solutions.

Et en cette année 2012 ou les problématiques systémiques sont de plus en plus fortes pour les consultants, adopter cette approche permettra de passer la phase de morosité économique de manière plus légère que de vivre la crise sur une approche traditionnelle.

Merci beaucoup à Jean-Hugues Zenoni, et à Jean-Pierre Cointre, pour avoir contribué à l’écriture de cet article.