Un bon mot vaut mieux qu’un mauvais livre. [Jules Renard]
Je me faisais la réflexion hier du nombre de sorties de romans pour cette première semaine de Septembre.
Je sais qu’il faut préparer les prix littéraires, organiser la communication, positionner en librairies et quelques autres contraintes logistiques.
Mais POURQUOI autant?
Certains auraient été parfaits pour une douce lecture estivale…
Est-ce que l’infobésité touche aussi l’édition?
Cette boulimie d’écriture peut-elle vraiment rencontrer un public?
En entrant dans un système traditionnel et codifié, ne passe-t-on pas à côté de potentielles jolies surprises?
NDA : Et non, je ne parle pas du fameux roman 50 Shades of Grey (aka le Mummy-Porn de l’été) dont le succès reste pour moi, un mystère…
Tout ça pour dire que le monde feutré de l’édition et de la programmation littéraire mérite également une bonne petite disruption !
Et pas qu’uniquement en terme de format ou de mode de distribution – poke le Kindle et autres ebooks.
La grande question reste, avant tout, qu’allez-vous lire pour cette rentrée?
