Le Monde Après, Make it Happen !

Publié le 13 février 2013 par Lemondeapres @LeMondeApres

Il y a quelques années, j’ai fait un rêve. J’ai rêvé que je pourrais utiliser mon savoir-faire et mon expérience à 100%, rendre service aux personnes et organisation « qui souffrent le plus de ne pas me connaître »[1]. J’ai rêvé de pouvoir garder mon indépendance de pensée et d’action et de rester alignée avec mes valeurs. J’ai rêvé de prendre plaisir en travaillant : « Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie », disait Confucius.

Alors je suis allée en quête de vérité : me trompai-je ou était-ce l’avenir?

J’ai d’abord rencontré des professeurs de l’ESCP Europe.

- « Tu parles du Management 2.0? »

- « Ah? Mon rêve a donc un nom… »

- « Eh oui, aujourd’hui le Management 1.0 est confronté à 3 dilemmes :

- Être compétitif ou avoir une organisation hiérarchique. La flexibilité et l’accès à des compétences-clés conditionnent la réussite d’une entreprise. La bureaucratie paralyse son fonctionnement : la règle devient plus importante que la raison pour laquelle elle a été créée.

- Explorer ou exploiter. Une entreprise comme Google ou Apple révolutionnent notre mode de vie. D’autres entreprises plus conventionnelles poussent leur efficience à leur maximum, espérant ainsi rester pérennes.

- Agir en autonomie ou en coordination. Une entreprise ultra-spécialisée se décroche du marché et perd sa compétitivité. Il est donc nécessaire de gérer les compétences. »

D’accord, en France, on n’est pas rendus! Protection du salarié, des acquis sociaux. Besoin de sécurité et d’assistance. Étroitesse d’esprit. Peu d’ascenseur social. Perte de la notion d’effort. Un enseignement controversé qui mène tout droit à la dyslexie voire l’analphabétisme. Une culture entrepreneuriale embryonnaire…

Tous les professeurs m’on dit : « Be flexible, have fun and make it happen! »

Malheureusement, mon cursus à l’ESCP Europe s’est achevé. Alors je suis allée visiter l’immeuble d’à côté. Là, j’ai trouvé de grands espaces de bureaux chaleureux et accueillants, des gens souriants et visiblement bienveillants. J’ai été invitée à prendre un apéro, les Apéros Le Monde Après, une société de portage salarial mais surtout de plasma collaboratif. J’y ai rencontré des entrepreneurs salariés aux compétences variées, passionnés, orientés vers leurs clients, proposant des solutions pour changer le monde, à leur mesure. On les appelle des « entrepreneurs salariés » chez Le Monde Après.

Alors, je me suis souvenue de la théorie de la diversité : la performance d’un groupe est la moyenne de la performance individuelle moyenne et de la diversité du groupe. Nul doute que la performance de Le Monde Après est optimale.

Alors j’y suis restée et j’aide le monde à changer aussi… à ma mesure…

[1] Joël Guillon – Modus Operandi Institute