Combien font un plus un ?

Publié le 20 février 2013 par Laurent

Chers lecteurs,
Bien souvent les recruteurs aiment à se raconter de petites histoires drôles en lien avec leur métier. Dans le cadre de la rubrique « … Pour se détendre… », en voici une, qui se raconte bien volontiers autour d’un verre le soir avec des amis. Petite précision d’usage : Toute coïncidence ou ressemblance avec des professions existantes n'est ni fortuite ni involontaire !

Un grand cabinet international d’audit financier BDOK & Co, aussi connu par les initiés sous le nom de Border, Duppler, Okarian and Keanon and Co, est en pleine saison pour ses recrutements d’auditeur junior. Habitué à recruter la crème de la crème, le haut du panier, le meilleur du meilleur comme aime à le dire son PDG Roy Thompson… Le cabinet BDOK &Co a pourtant, sous l’impulsion de son nouveau DRH, décidé cette année d’innover et d’ouvrir son recrutement à des profils atypiques et de les mettre en concurrence avec les candidats habituellement recrutés.
Lors d’une session de recrutement se présentent trois candidats :
Le premier des candidats, un mathématicien issu du MIT, entre dans le bureau du recruteur, et se voit poser la question « … Combien font un plus un ?... »
« … Deux exactement ! Cela ne peut faire que deux… Il n’en peut-être autrement…. C’est mathématique !... »
Le deuxième, un physicien de Berkeley, suit dans le même bureau et se voit poser la même question :
« … Combien font un plus un ?... »
« … Deux… Mais tout dépend dans quel continuum espace temps nous sommes… Néanmoins et selon la valeur quantique de la courbe de Nieschen, il se peut que cela ne fasse pas deux !… »
Le troisième, un jeune Ingénieur financier tout frais émoulu de Harvard Business School, se voit aussi poser la même question
« …Combien font un plus un ?... »
Le candidat regarde le recruteur d'un air quelque peu étonné, tire les rideaux du bureau, va à la porte, écoute à la porte, l'ouvre d'un grand coup rapide pour voir si personne n'écoute derrière, la referme, décroche le téléphone, éteint l’ordinateur, et va susurrer à l'oreille du recruteur :
« … Cher Monsieur, vous voulez que ça fasse combien ?... »