Le consultant indépendant a une expertise achetée par un client. Sa sphère de connaissances et ses recherches font qu’il s’améliore d’année en année et qu’il trouve de plus en plus de missions. C’est parfait.
Le consultant indépendant doit aussi se préserver de la posture de celui qui est ‘au dessus de la mêlée’ et qui perd le retour de la base et du marché (cf article de Benoît Debray ‘Entropie des organisations’). La ‘vraie valeur’ apparaît donc en un mixe d’indépendance et de liens entre alter ego (cf article d’Elisabeth Pollock ‘Expert en maïeutique‘). En se rencontrant, nous établissons non seulement une photo de la situation mais nous utilisons une boussole: l’axe stratégique pertinent pour mieux avancer dans l’entreprise.
Je retrouve là les caractéristiques du plasma collaboratif de Le Monde Après : une galaxie de consultants de différents corps de métier, qui échangent et progressent à travers les blogs, les ateliers de formation, les salons, colloques, apéros, …
J’aime le plasma collaboratif car il me permet de me révéler (je suis ) ensemble: je suis, donc nous sommes.