J’ai participé au TruMontréal 2020 la semaine dernière. Nous étions environ 150 à participer aux ateliers d’échange sur le recrutement innovateur, et voici un résumé de ce qui a retenu mon attention - 2e partie. Pour voir la 1re partie, cliquer ici...
Le 2e atelier portait sur la flexibilité au travail et comment s’en servir comme levier en marketing RH, sujet initié par Geneviève Provencher.
Le groupe a tout de suite mis l’accent sur le télétravail. Une des recruteuses a lancé « On est à l’Ile des soeurs, c’est pas compliqué, sans télétravail, on n’a pas de candidat! »
Un autre renchérit : « Les 3/4 du temps, c’est la 1re ou la 2e question que les candidats me posent. » Ça semble LE facteur qui va faire pencher la balance... Et même chose du côté des employés en place, c’est de plus en plus en demande.
Le plus demandé : le télétravail. Le plus difficile à implanter : le télétravail!
Mais il y a un hic... La direction et les gestionnaires sont très réticents à le faire de façon élargie. Il y en a encore beaucoup qui le considèrent comme un privilège dont plusieurs voudrait abuser. Il y a des craintes que les gens volent du temps.
Certains rappellent les études comme quoi ces craintes ne sont pas fondées, etc. Et l’une qui l’a déjà implanté rappelle « Quand tu implantes le télétravail, les gens qui initient le mouvement veulent que ça fonctionne, ils sont souvent très productifs et honnêtes. Par la suite, si tu l’étends à tous, ça sera plus en fonction des individus. Mais quelqu’un qui triche en télétravail trichait sûrement déjà au bureau! »
Quelqu’un rappelle que certains employés demandent du télétravail alors que leur besoin c’est un bureau fermé pour pouvoir se concentrer, un horaire différent ou de travailler un peu moins d’heures pour la conciliation travail-famille.
La flexibilité n’est pas que le télétravail ou les horaires variables, c’est aussi de choisir son environnement de travail : salon, bureau debout, bureau traditionnel, etc. Et d’en changer selon les besoins ou pour une meilleure santé (ergonomie).
L’équité semble un enjeu. On suggère d’offrir des programmes à la carte comme en assurances collectives.
Lowe’s a fait des groupes focus avec les employés de magasin : ils ont été surpris que les jeunes et les plus âgés ont le même discours : ils veulent de la flexibilité d’horaire - ce qui est difficile pour un commerce de détail. Mais ils souhaitent aussi de la flexibiité dans les tâches - soit varier les tâches et les endroits de travail, ce qui serait peut-être plus facile à implanter.
Et on se pose la question, est-ce de la vraie flexibilité qu’on veut offrir ou seulement le minimum pour attirer des candidats?
Le 2e atelier portait sur la flexibilité au travail et comment s’en servir comme levier en marketing RH, sujet initié par Geneviève Provencher.
Le groupe a tout de suite mis l’accent sur le télétravail. Une des recruteuses a lancé « On est à l’Ile des soeurs, c’est pas compliqué, sans télétravail, on n’a pas de candidat! »
Un autre renchérit : « Les 3/4 du temps, c’est la 1re ou la 2e question que les candidats me posent. » Ça semble LE facteur qui va faire pencher la balance... Et même chose du côté des employés en place, c’est de plus en plus en demande.
Le plus demandé : le télétravail. Le plus difficile à implanter : le télétravail!
Mais il y a un hic... La direction et les gestionnaires sont très réticents à le faire de façon élargie. Il y en a encore beaucoup qui le considèrent comme un privilège dont plusieurs voudrait abuser. Il y a des craintes que les gens volent du temps.
Certains rappellent les études comme quoi ces craintes ne sont pas fondées, etc. Et l’une qui l’a déjà implanté rappelle « Quand tu implantes le télétravail, les gens qui initient le mouvement veulent que ça fonctionne, ils sont souvent très productifs et honnêtes. Par la suite, si tu l’étends à tous, ça sera plus en fonction des individus. Mais quelqu’un qui triche en télétravail trichait sûrement déjà au bureau! »
Quelqu’un rappelle que certains employés demandent du télétravail alors que leur besoin c’est un bureau fermé pour pouvoir se concentrer, un horaire différent ou de travailler un peu moins d’heures pour la conciliation travail-famille.
La flexibilité n’est pas que le télétravail ou les horaires variables, c’est aussi de choisir son environnement de travail : salon, bureau debout, bureau traditionnel, etc. Et d’en changer selon les besoins ou pour une meilleure santé (ergonomie).
L’équité semble un enjeu. On suggère d’offrir des programmes à la carte comme en assurances collectives.
Lowe’s a fait des groupes focus avec les employés de magasin : ils ont été surpris que les jeunes et les plus âgés ont le même discours : ils veulent de la flexibilité d’horaire - ce qui est difficile pour un commerce de détail. Mais ils souhaitent aussi de la flexibiité dans les tâches - soit varier les tâches et les endroits de travail, ce qui serait peut-être plus facile à implanter.
Et on se pose la question, est-ce de la vraie flexibilité qu’on veut offrir ou seulement le minimum pour attirer des candidats?